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Jeunesse du Niger

Unisons-nous et construisons le Niger de demain

mardi 27 août 2013

Zoom sur le CCAJ de ZInder



A l’instar des autres régions, Zinder a un Cadre de Concertation des Associations de Jeunes (CCAJ) qui est le “porte parole” de plus de 47 structures de jeunesses dans cette partie du Niger. Chacunes de ces associations est represntée au CCAJ par deux membres. Soutenu par des partenaires tels que l’Unicef, le cadre de concertaion de Zinder, parvient à mener plusieurs activités dans le domaine de la santé, de l’éducation, de l’environement ou encore des sports et de la culture. C’est ainsi que des séances de formation sur la gestion non-violentes des conflits, sur les changements climatiques, des seances de salubrité et bien d’autres initiatives ont été conduites par ces jeunes réunis autour du CCAJ. L’objectif aussi d’un tel cadre, c’est d’aider les structures membres du CCAJ dans la mise en oeuvre de leurs projets car comme le dit le slogan du CCAJ, « Ensemble on va plus loin ». Aujourd’hui, ils ont leur propre siege dans laquelle, ils tiennent leurs réunions. Leurs ambitions, c’est de voir toutes les associtions de jeunes de Zinder en particulier et ceux du Niger en général contribuer efficacement au développement du pays.
Lawan Karimou, Point Focal du CCAJ/Zinder
Par Jeunesse du Niger
Photo : Islamane Abdou

lundi 26 août 2013

la 13eme journée scientifique, culturelle et sportive du REMAO


Niamey, la capitale du Niger abrite du 21 au 31 Août la 13eme journée scientifique, culturelle et sportive du réseau des étudiants en médecine de l’Afrique de l’Ouest (REMAO), sous le thème : La couverture universelle en santé.  
8 pays sont au rendez-vous avec plus de 400 participants. Il s’agit du Sénégal, du Togo, du Burkina Faso, du Bénin, du Mali, du Niger, de la Côte d’Ivoire et de la Guinée.
Durant les dix jours de cette rencontre, les étudiants vont compétir dans divers domaines.
La majorité des compétitions scientifiques, reposeront sur la communication scientifique et le génie-médical ou encore le jeu des chiffres et des lettres. Pour la communication scientifique, les thèmes ont été annoncés aux différents candidats avant leur arrivée à Niamey, cela afin de faciliter la recherche. En sport ils s'affronterons en football, basketball... Et en culture, les étudiants feront découvrir la diversité culturelle de leurs pays.
Les participants effectueront aussi des excursions au musée national Boubou Hama de Niamey et à Kouré.

samedi 24 août 2013

Quand on fait de sa passion son métier


Epris  du cinéma depuis sa tendre enfance, Jaloud Zaynou a toujours caressé  le rêve de devenir réalisateur alors que sa famille lui prédestinait une carrière militaire. Ainsi, après son CFEPD il fut admis au prytanée militaire de Niamey où il ne termina pas son cycle secondaire comme prévu, car, comme pour confirmer le dicton selon lequel nul n’échappe à son destin, il a fini dans un lycée d’enseignement général où il décrocha son bac. Alors vint le moment propice, car se dit-il quoi de plus logique que de poursuivre ses études dans une école où sa passion constitue une unité d’enseignement fondamentale. C’est ainsi que son choix fut porté sur l’IFTIC (institut de formation aux techniques de l’information et de la communication).
Après deux ans de formation en production-réalisation, le géni qui sommeillait en lui ne tarda pas à s’affirmer au grand jour: ce jeune homme aux ambitions ahurissantes réalisa en décembre 2012 son premier film dénommé «la fille du gouverneur» alors qu’il n’avait que 21 ans.
Le 23 mars 2013, les gens entraient par milliers au palais des congrès de Niamey pour acclamer ce chef d’œuvre qui  dépeint le cinéma nigérien sous une nouvelle dimension, à travers un scénario révolutionnaire, adéquat aux exigences du 21eme siècle. Accompli avec des moyens de bord, ce film constitue pour Jaloud une sorte de ticket d’entrée à la cour légendaire des cinéastes nigériens et la clef d’un succès imminent.

Par Omar Manga Aichou
Photo : Nomade Prod.

vendredi 23 août 2013

Le Franc CFA menacé de disparition au Niger ?



Avant de quitter Niamey, si on m’avait dit que quelqu’un refuserait un paiement en francs CFA au Niger, je n’y aurais pas cru. C’est pourtant arrivé.
A Mainé Soroa, dans la région de Diffa, à quelques kilomètres du Nigeria, j’achète du pain local un matin et fièrement, je sors un billet de 1000Fcfa pour payer. Le revendeur me dit tout bonnement en haoussa « ni baani amsar irin wanan cudi, say Nera » (moi je ne prends pas ce genre d’argent ; je ne prends que la Nera (la monnaie du Nigeria) ». Pourquoi ? Il me répond qu’il ne maîtrise pas le franc CFA et que même s’il l’acceptait, ce serait un problème ensuite car beaucoup de gens sont comme lui. Est-il Nigérian? Pas du tout, me répond-il, ajoutant qu’il a vécu la majeure partie de sa vie à Diffa. Comment puis-je payer ce que je viens d’acheter alors ? Il ne maîtrise pas le CFA et moi, je ne maîtrise pas la Nera. Nous avons été obligés  de faire appel à un intermédiaire connaissant la valeur des deux monnaies pour enfin conclure cet achat.
Me renseignant davantage sur la situation du franc CFA dans la localité, j’ai appris et constaté que ce commerçant n’était pas une exception. A Mainé mais aussi dans les autres zones frontalières avec le Nigeria, la plupart des transactions se font en Nera.
Seules résistent encore à cet « envahissement » les institutions étatiques. Par exemple, pour payer les factures d’électricité, d’eau, la poste ou à la justice, il faut obligatoirement des CFA. Mais jusqu’à quand ?

Par Islamane Abdou
photo : Jeunesse du Niger


jeudi 22 août 2013

Une victoire pour les footballeuses nigériennes


Personne ne les croyait favorites pour cette deuxième journée du Tournoi de Football Féminin Ouest Africain de Ouaga. Pour preuve, notre équipe féminine a perdue lors de sa première sortie 8 buts à 0, contre celle du Burkina Faso.  Face à l’adversaire beninoise, il fallait montrer que les filles nigériennes n’étaient pas partie pour perdre tous les matchs.  La rencontre fut serrée, et le but de Kabira Nassam, vient libérer tout un peuple. C’est sur ce score de 1 but à 0 que le match a pris fin.  Bien que Kabira aie marqué le but, la fille du match a été Habsatou Rabo qui a été presente dans tout le jeu.  Avec cette victoire le Niger se classe 2ème de sa poule et disputera la troisième place le 24 août prochain avec le vainqueur du match Togo-Côte d’Ivoire.
Première sortie depuis 2009 et deja une victoire, la premiere dans une compétition sous-regionale.  Peut être que le football feminin reussira là où celui des hommes a faillit en tout cas, bonne chance et courage à nos footballeuses. Tout le Niger est fière de vous.

Photo : Jeroen Roovers

mercredi 21 août 2013

Camp des jeunes 2013 : une édition inédite




“De tous les camps auxquels nous avons participé, celui-ci a le plus réussi”, faisaient entendre beaucoup de campeurs. L’édition de cette année a en effet été une grande reussite. Qu’est-ce qui a fait cela ?  Lors de septième édition de Mainé Soroa, les jeunes ont été au devant du projet. Toutes les questions organisationnelles leurs ont été confiées. En tant qu’acteurs, ils avaient la mission de faire la différence. Hébergement, restauration, transport, santé, bref les jeunes ont assuré à tous les niveaux. Une réussite qui n’aura peut être pas été possible sans l’implication des autorités coutumières, qui se sont dit disponible à accompagner les jeunes. Le camp des jeunes, c’était aussi des activités d'intérêt communautaire. A Mainé, les campeurs ont effectué une série d’actions telles que le désensablement, la fixation des dunes, le traitement des cauris, les plantations d'arbres mais aussi des actions de sensibilisation sur la citoyenneté.
8 jours durant, les coupures des réseaux téléphoniques empêchants aux campeurs de joindre leurs familles et bien d'autres facteurs de "découragements", n’ont pas empechés aux 400 filles et garçons venus de tout le Niger et de divers horizons, de partager leurs experiences tout en fraternisant dans un climat de paix et de solidarité. 

Par islamane Abdou
Photo : Jeunesse du Niger/2013

mardi 20 août 2013

Inondations au Niger

La quasi totalité des huit régions du Niger, y compris celle d'Agadez située aux portes du désert, sont touchées par les inondations, indique le Bureau de la coordination des affaires humanitaires (OCHA) de l'ONU dans son dernier Bulletin publié à Niamey. Les régions de Maradi (centre-sud) et Zinder (centre-est), habituellement en proie aux crises alimentaires du fait de la sécheresse, sont parmi les plus affectées par les inondations. Deux fillettes âgés de 3 et 5 ans ont péri dimanche dans l'effondrement de leur maison dans un village de Zinder où 135 millimètres de pluies sont tombés en quelques heures, a indiqué la radio privée Anfani.
Parmi les nombreux blessés on dénombre deux femmes enceintes à Zinder et Maradi, précisent Anfani et Ocha. Dans la seule ville de Maradi, également la capitale économique du pays, un millier de personnes sont sans-abris après l'effondrement d'une centaine de maisons, note Ocha. Les sans-abris sont déjà relogés dans des écoles et le gouvernement annonce l'envoi de vivres aux sinistrés notamment à ceux de Maradi, a indiqué à l'AFP la municipalité de Maradi. Dans la zone de Tilabery, à Banibangou, une centaine d'habitations se sont effondrées mettant prés de 18 000 personnes en situation d’urgence.
 
L'ONU a averti que le Niger risque d'être confronté cette année à une "invasion massive" de criquets pèlerins, du fait des fortes pluies qui ont favorisé l'éclosion des larves des acridiens. Actuellement, la campagne agricole bat son plein au Niger, pays très sec, souvent confronté à de sévères crises alimentaires du fait de la sécheresse ou des dégâts causés par les criquets.

Source AFP et Oxfam
 Photo : Association Thedil, Inondations de 2012

samedi 17 août 2013

Session parlement des jeunes à Zinder




« Dans  nos propositions de lois, nous allons demander à ce qu’un accent soit mis sur les questions liées à la santé de l’enfant » a annoncé Garba Bana, président du parlement des Jeunes du Niger. Dans les pédiatries, les enfants peinent parfois à être pris en charge comme il le faut, a-t-il ajouté.  La capitale du Damagaram accueil en effet, du 15 au 23 Août, la première session parlementaire au titre de l’année 2013 des députés juniors du Niger.
La santé, l’éducation, la protection des enfants, La sécurité routière, sont autant de questions sur lesquelles se pencheront les 113 représentants des âgés de moins de 18 ans. Participent aussi à cette session, les anciens députés juniors, ceux du parlement des jeunes francophones, les députés seniors, mais aussi l’Unicef-Niger. Afin d’amener, ces élus à mieux comprendre les sujets sur lesquels ils vont débattre, une série de présentations sont prévues.
Cette session, est l’avant dernière qu’ils tiendront, avant l’installation du prochain parlement junior prévue pour décembre 2013.
Par Islaman Abdou
Photo : Jeunesse du Niger/2013

mercredi 14 août 2013

Mohamedine, chargeur de téléphone en zone rurale


Le développement du secteur de la téléphonie mobile au Niger n'a pas épargné nos zones rurales. Mais dans un grand nombre de ces localités, le courant électrique fait défaut.
Alors comment recharger son téléphone ? 
La génération consciente a trouvée la solution. La recharge se fait grâce aux panneaux solaires ou aux groupes électrogènes.
Depuis plus de 5 ans,  à Doukou dans le département de Madaoua (région de Tahoua), Mohamedine, un jeune de 22 ans a fait de la recharge des batteries de téléphones portables son principal métier.   Comment procède-t-il ?
“Je me suis fait confectionner cette planche sur laquelle sont installées plusieurs prises électriques alimentées par un groupe électrogène. Ensuite, je branche les chargeurs universels, des chargeurs compatibles avec toutes les catégories de batteries de cellulaires. La recharge de la batterie coûte 100 Fcfa. Je gagne en moyenne 2000 Fcfa par jour. Je fais aussi le tour des villages, le jour des marchés.”
Astucieuse initiative qui, en plus d’aider les communautés les plus éloignées à rester joignables, contribue à garder les jeunes chez eux : “Je n’ai pas de projet d'aller ailleurs, parce que, grâce à ce travail, j’arrive à subvenir à mes besoins ainsi qu’à ceux de mes proches ”,  conclut Mohamedine.

lundi 12 août 2013

Journée Internationale de la Jeunesse


L’objectif de la Journée internationale de la jeunesse est de promouvoir, tout particulièrement auprès des jeunes, le Programme d’action mondial pour la jeunesse à l’horizon 2000 et au-delà. Ce programme encourage l’action en faveur des jeunes dans dix domaines prioritaires : éducation, emploi, malnutrition et pauvreté, santé, environnement, toxicomanie, délinquance juvénile, loisirs, petites filles et jeunes femmes et pleine et entière participation des jeunes à la vie de la société et à la prise de décisions. Une action de mise en œuvre du Programme aux niveaux national, régional et mondial y est également recommandée.
Les jeunes, qui selon les critères des Nations Unies correspondent à la tranche d’âge 15 à 24 ans, représentent un sixième de la population mondiale. La majorité de ces jeunes hommes et femmes vit dans des pays en développement et leur nombre devrait augmenter substantiellement au XXIè siècle.
En 1998, par une résolution adoptée lors de la première Conférence mondiale des ministres de la jeunesse - tenue par le Gouvernement portugais en collaboration avec les Nations Unies à Lisbonne du 8 au 12 août 1998 - le 12 août a été déclaré Journée internationale de la jeunesse. Cette recommandation a ensuite été entérinée lors de la cinquante-quatrième session de l’Assemblée générale des Nations Unies par l’adoption de la résolution A/RES/54/120, en date du 17 décembre 1999 et intitulée "Politiques et programmes mobilisant les jeunes.
Au mois de décembre 2009, l’Assemblée Générale des Nations Unies a adopté la résolution A/RES/64/134 qui marquait le 12 août 2010 comme point de départ de l’Année internationale de la jeunesse sur le thème “Dialogue et compréhension mutuelle”.
Le thème de la Journée internationale de la jeunesse 2013 est « la place de la jeunesse dans le développement de la société ». Cette journée organisée par l’Association Jeunesse Consciente Dynamique (AJCD) sera célébrée à Brazzaville au Congo.
« Pour libérer le talent des jeunes, nous devons établir des partenariats avec eux. »
M. Ban Ki-moon, Secrétaire général de l’ONU
Journée internationale de la jeunesse, 12 août 2012

vendredi 9 août 2013

De plus en plus de jeunes mamans au Niger : un phénomène inquiétant


Dans le CSI de Kantché (Zinder), des mères attendent
le début de la consultation médicale de leurs enfants


Aïcha a 15 ans. Elle a été mariée lorsqu’elle avait six ans. Aujourd’hui, elle est mère d’un garçon. Nous l’avons rencontrée au centre de santé intégré de Kantché, dans la région de Zinder. Elle est venue avec son fils, qui souffre de diarrhée. « Des situations pénibles, j’en connais », dit-elle. « Lorsque les pluies ne sont pas abondantes, il n’y a pas à manger et je m’inquiète pour mon fils. Je ne sais pas quoi faire.»



Aïcha 15 ans, mère d'un enfant

Assise à côté d’Aïcha, il y a Zeinabou, donnée en mariage à l’âge de 14 ans : elle est 
mère de six enfants après six ans de mariage. Elle ne produit pas assez de lait 
maternel pour nourrir son bébé. Elle espère qu’on va lui donner des vitamines.
Très souvent, elle se retrouve seule à la maison car son mari part vers la capitale
chercher de quoi les nourrir. Actuellement, Zeinabou est la chef du foyer.
« Mon plus grand problème, c’est le manque de nourriture », confie-t-elle.
« Ce serait différent, bien sûr, si j’avais un métier. » 


Zeinabou 20 ans, mère de 6 enfants
Est-il facile de gérer un foyer quand on a quinze ans ? Les deux jeunes femmes 
n’osent pas répondre.  C’est l’infirmière du centre qui va le faire pour elles.


Roukaya, infirmière au CSI de Kantché
Roukaya Laoualy estime que ces filles ne sont pas assez mûres pour 
s’entretenir elles-mêmes, a fortiori entretenir des enfants.
 « Nous sommes vraiment confrontés à des problèmes avec elles », dit-elle. 
Beaucoup de ces jeunes mères ne savent pas bien allaiter, insiste-t-elle.
Chaque année dans le monde, ce des millions de jeunes filles qui sont mariées
avant l’âge de 18 ans.

Au Niger, c’est le cas d’une fille sur deux, ce qui le place parmi les premiers
en matière de mariage précoce. Les raisons qui poussent les parents
à les donner en mariage sont multiples, parmi lesquelles prévenir
des violences sexuelles ou une naissance hors mariage, s’alléger
d’une charge. Mais ces motifs ne tiennent pas face aux conséquences
que peut engendrer le mariage de très jeunes filles : abandon scolaire,
maltraitance et problèmes de santé.
 « Nos parents doivent comprendre qu’il est important de laisser 
une fille grandir avant de la marier. Elle saura alors comment s’entretenir, 
entretenir son mari et ses enfants, rester dans son foyer 5/5 », conclut Roukaya.

Par Islamane Abdou






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mardi 6 août 2013

A la recherche des meilleurs lycéens de Niamey

Chacun d'entre nous a dans sa famille ou son entourage un(e) lycéen(ne) qui présente un potentiel hors du commun.
Grâce à l'African Leadership Academy (ALA), cette personne a aujourd'hui l'occasion d'entrer à l'African Leadership Academy pour terminer son lycée grâce à une bourse de plusieurs dizaines de milliers de dollars, avec à la clé, la possibilité d'intégrer les plus grandes universités internationales.

L'ONG Ose-Niger organise à Niamey dans les prochains jours une session d'information sur l'ALA, animée par par Yahouza Sani Sabo Gado, premier élève nigérien à intégrer cette prestigieuse école. Monsieur Sani Sabo Gado sera également présent pour nous expliquer les raisons qui l'ont poussé à encourager son fils dans son projet de postuler à l'ALA.

6 ans après la création de l'ALA, le Niger y reste très sous-représenté.
Si vous connaissez des lycéens de 15 à 19 ans, avec de très bons résultats scolaires, merci de leur transmettre le message, ainsi que ce lien:https://docs.google.com/forms/d/1JLm5hBov9EvQpKi3LDeCPci9bHmUY3SWIUB2Rki-BIc/viewform