Selon un rapport de l'UNICEF, près de 50 millions de vies ont été sauvées depuis 2000 et des millions d'autres pourraient l'être également d'ici 2030, indique un communiqué de presse rendu public, hier, par UNICEF Niger. Au nombre des pays ayant réalisé des avancées remarquable figure, qui a réduit son taux de mortalité des enfants de moins de cinq ans de 60 pour cent ou plus entre 1990 et 2011 (60 pour cent pour le Niger).
Selon le rapport de l'UNICEF intitulé ''Une promesse renouvelée'', « en l'espace d'une génération, la baisse du taux de mortalité infantile dans le monde a plus que doublé et 38 millions de vies supplémentaires pourront être sauvées d'ici 2030 si les progrès s'accélèrent conformément aux Objectifs de développement durable (ODD) que les dirigeants du monde s'apprêtent à adopter ce mois-ci ».
Le même rapport souligne que 48 millions d'enfants millions d'enfants de moins de cinq ans ont été sauvés depuis 2000, année où les gouvernements se sont engagés à réaliser les Objectifs du Millénaire pour le développement (OMD). « Ces progrès remarquables sont le fruit de l'action soutenue menée par les dirigeants pour mettre en place un plan d'action visant à lutter contre la mortalité infantile et en faire une priorité politique, pour améliorer et mettre à profit les données relatives à la survie de l'enfant et pour élargir les interventions qui ont fait leurs preuves », note l'UNICEF.
Selon le rapport de l'UNICEF intitulé ''Une promesse renouvelée'', « en l'espace d'une génération, la baisse du taux de mortalité infantile dans le monde a plus que doublé et 38 millions de vies supplémentaires pourront être sauvées d'ici 2030 si les progrès s'accélèrent conformément aux Objectifs de développement durable (ODD) que les dirigeants du monde s'apprêtent à adopter ce mois-ci ».
Le même rapport souligne que 48 millions d'enfants millions d'enfants de moins de cinq ans ont été sauvés depuis 2000, année où les gouvernements se sont engagés à réaliser les Objectifs du Millénaire pour le développement (OMD). « Ces progrès remarquables sont le fruit de l'action soutenue menée par les dirigeants pour mettre en place un plan d'action visant à lutter contre la mortalité infantile et en faire une priorité politique, pour améliorer et mettre à profit les données relatives à la survie de l'enfant et pour élargir les interventions qui ont fait leurs preuves », note l'UNICEF.
Comme le souligne la communiqué de presse de l'UNICEF, « le nombre d'enfants qui meurent avant l'âge de cinq ans, essentiellement de causes évitables, s'élève aujourd'hui à 5,9 millions par an, soit une baisse de 53 % depuis 1990.À l'échelle mondiale, le taux annuel de réduction de la mortalité des moins de cinq ans entre 2000 et 2015 a plus que doublé par rapport aux années 1990. L'exemple de certains des pays les plus pauvres du globe montre qu'il est possible de faire reculer considérablement la mortalité infantile en dépit d'obstacles considérables »
En effet, précise le communiqué de l'UNICEF, « le Niger est l'un des neuf pays à faible revenu (avec le Bangladesh, le Cambodge, l'Éthiopie, le Libéria, Madagascar, le Malawi, le Népal, le Rwanda) qui a réduit son taux de mortalité des enfants de moins de cinq ans de 60 pour cent ou plus entre 1990 et 2011 (60 pour cent pour le Niger) ».
« Au Niger, les indicateurs sur la santé des enfants ont progressé de façon significative: la mortalité infanto-juvénile a diminué de 198 pour mille naissances vivantes en 2006 à 127 pour mille naissances vivantes en 2012, soit une réduction de 34%. Même si elle reste l'une des plus élevées du monde, le Niger est sur la bonne voie pour atteindre l'objectif du millénaire pour le développement de 107 pour mille naissances vivantes fixé pour 2015 (OMD4) », précise le communiqué.
« Ces millions de vies d'enfants épargnées dans les campagnes et les villes, dans les pays riches et pauvres constituent l'un des premiers grands succès du nouveau millénaire. L'un des plus grands défis de ces 15 prochaines années est d'accélérer encore plus cette tendance, explique Yoka Brandt, Directrice générale adjointe de l'UNICEF. Il est théoriquement possible de sauver des millions d'enfants si nous intensifions nos efforts pour atteindre chaque enfant. », indique le rapport.
Il ressort du communiqué de presse que « parmi les solutions simples, à fort impact et économiques qui ont contribué à faire reculer considérablement la mortalité chez les moins de cinq ans, citons les soins prénatals, obstétricaux et postnatals, l'allaitement maternel, la vaccination, la diffusion des moustiquaires traitées à l'insecticide, l'amélioration de l'approvisionnement en eau et de l'assainissement, la thérapie de réhydratation orale contre la diarrhée, les antibiotiques contre la pneumonie, les suppléments nutritionnels et les aliments thérapeutiques.».
Malgré ces progrès impressionnants, indique le communiqué, la cible des OMD consistant à réduire de deux tiers la mortalité chez les moins de cinq ans à l'échelle de la planète n'a pas été atteinte.
Le communiqué rappelle qu'entre 1990 et fin 2015, près de 236 millions d'enfants sont décédés avant l'âge de cinq ans, la plupart de causes évitables. La prématurité, la pneumonie, les complications lors de l'accouchement, la diarrhée et le paludisme constituent aujourd'hui les premières causes de décès, et la sous-nutrition contribue à près de la moitié du total des décès avant l'âge de cinq ans.
« Les Objectifs de développement durable (ODD) incitent les pays à redoubler d'efforts pour ramener les taux de mortalité chez les moins de cinq ans à 25 décès maximum pour 1 000 naissances vivantes d'ici 2030. En accélérant le rythme, surtout dans les pays actuellement à la traîne, il sera possible de sauver 38 millions d'enfants de moins de cinq ans supplémentaires», conclut le communiqué de presse.
Assane Soumana(onep)
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