Après la publication du classement de l'IDH 2015, qui place notre pays, le #Niger 188e sur 188 pays retenus pour cette édition, les langues se sont délitées et beaucoup d'entre nous se sont précipités pour désigner "facilement" le gouvernement comme "Responsable" de cette situation. Si cela est en partie vrai, le mea-culpa doit être général. En effet, les critères que le PNUD prend en compte pour établir son classement relèvent, pour leur majorité, d'ordre structurel. Ce qui laisse penser que le problème de l'éducation, pour ne citer que celui-ci, ne date pas d'aujourd'hui. Et le piteux état dans lequel "végète" ce secteur combien stratégique est le résultat des mauvaises politiques conduites par les précédents dirigeants et actuels ainsi que le Peuple qui a démissionné de son rôle de "contrôleur"de l'action publique. Les pays qui caracolent dans ce classement ont pour la plupart fait de l'Education leur premier poste de dépenses publiques. Ce qui contraste avec le choix opéré par nos autorités d'allouer de maigres ressources financières à l'Education. Et la suite, nous la connaissons.
On a coutume de dire que "mieux vaut tard que jamais".
Aux problèmes d'ordre structurel, réformes et mesures structurelles à mettre en œuvre.
Être 188e/188 signifie juste qu'on doit revoir notre copie, rien n'est figé et que de nombreuses opportunités s'offrent à nous. On a la chance d'avoir de modèles de développement en face de nous et qui nous sont facilement transposables. A nous de copier les "bons".
Ce qui suppose, par ailleurs, de s'intéresser davantage à l'exercice du pouvoir qu'à la conquête de celui-ci. Ce qui est loin d'être gagné.
On a coutume de dire que "mieux vaut tard que jamais".
Aux problèmes d'ordre structurel, réformes et mesures structurelles à mettre en œuvre.
Être 188e/188 signifie juste qu'on doit revoir notre copie, rien n'est figé et que de nombreuses opportunités s'offrent à nous. On a la chance d'avoir de modèles de développement en face de nous et qui nous sont facilement transposables. A nous de copier les "bons".
Ce qui suppose, par ailleurs, de s'intéresser davantage à l'exercice du pouvoir qu'à la conquête de celui-ci. Ce qui est loin d'être gagné.
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