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Jeunesse du Niger

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mardi 29 septembre 2015

9eme édition du camp national de la jeunesse, Tessaoua 2015


Nous partageons avec vous quelques images du lancement de la 9ème édition du Camp National de la Jeunesse. La plus grande rencontre annuelle de la génération consciente du Niger se tient cette année à Tessaoua, Maradi du 29 septembre au 6 octobre sur le thème : rôle de la jeun 
esse pour des élections apaisées et la lutte contre l'extrémisme violent. Venus de tout le Niger, les 400 jeunes participants à cette rencontre vont fraterniser dans la solidarité et la paix.

Dans quelques mois, les nigériens se rendront aux urnes, la réussite de ces élections est primordiale pour la bonne marche de notre pays. La jeunesse a un grand rôle à jouer dans ce sens. D’où l’intérêt d’un tel thème pour cette rencontre dont l’objectif premier est la promotion du brassage et la cohésion sociale entre les jeunes nigériens.

Le camp de la jeunesse est par ailleurs une occasion pour ces jeunes de mener des activités d'intérêt communautaire dont les plantations d'arbres , les salubrités ainsi que des actions de sensibilisation sur la citoyenneté.

Adoption des ODD : « Un programme pour les gens et la planète »

Plus de 150 chefs d’État et de gouvernement,  des interventions musicales des stars colombienne et béninoise Shakira et Angélique Kidjo. C’est dans une ambiance aussi solennelle qu’optimiste que les 193 États membres des Nations unies ont adopté, à l’unanimité, les 17 Objectifs du développement durable (ODD), le vendredi 25 septembre à New York.
Intitulée « Transformer notre monde : le Programme de développement durable à l’horizon 2030 », l’initiative ODD est « conçue pour parachever d’ici à 2030 les efforts entamés dans le cadre des Objectifs du Millénaire pour le développement (OMD) » lancés en 2000, explique un communiqué de l’ONU.
Ambitions
Les ODD se veulent ambitieux. « À bien des égards, les 17 ODD et leurs 169 cibles ont une portée plus large que les 8 OMD et leurs 21 cibles, explique le communiqué de l’Organisation des Nations unies. Là où ces derniers étaient centrés principalement sur des thématiques sociales, les ODD couvrent l’ensemble des dimensions du développement durable, à savoir la croissance économique, l’intégration sociale et la protection de l’environnement ».
Aussi, tandis que les OMD ciblaient essentiellement les pays en développement, en particulier les plus pauvres, les ODD « seront applicables aussi bien aux pays riches qu’aux pays pauvres. Le premier d’entre eux, par exemple, l’ODD N°1, se propose d’éradiquer la pauvreté sous toutes ses formes, et non pas seulement l’extrême pauvreté », insiste l’institution internationale.
Test
« Nous devons agir, tous et partout ; ces 17 Objectifs de développement durable sont notre guide, une liste de tâches pour les gens et la planète, et un modèle de réussite », a déclaré le Sud-Coréen Ban Ki-moon, secrétaire général de l’ONU, lors de l’adoption des ODD.
Prenant la parole ce lundi 28 septembre en ouverture de l’Assemblée générale des Nations unies, le patron de l’ONU a réitéré cet appel, s’indignant qu’il soit « plus facile de trouver de l’argent pour anéantir les gens et la planète que pour les protéger ».
Sceptiques
De fait, le financement des ODD est l’un des enjeux les plus cruciaux. S’il a engendré beaucoup d’enthousiasme, le programme des ODD ne manque toutefois pas de critiques.
Plusieurs experts estiment qu’il faudra trouver entre 3 500 et 5 000 milliards de dollars par an sur 15 ans, voire davantage, pour le financer, soit bien que les 2 500 milliards de dollars évoqués à Addis-Abeba, en juillet, lors de la troisième Conférence sur le financement du développement.
Or, l’aide au développement accordée par les Etats riches aux plus pauvres est en baisse pour cause de crise économique.
L’ONU table donc sur une meilleure collecte de l’impôt dans chaque pays et sur la lutte contre la corruption. Elle compte surtout beaucoup sur les investisseurs privés.

vendredi 18 septembre 2015

MAP4DEV : la jeunesse nigerienne trace l'avenir



Les jeunes cartographes en action...

Au Niger, six jeunes, engagés et intéressés par les questions du changement climatique se sont lancés avec le soutien de l'Unicef dans un projet innovant de cartographie. Il s’agit pour eux de recenser et documenter les signes visibles des changements climatiques auxquels leurs communautés font face pour ainsi témoigner de l’impact que cela a sur le développement de leur pays. Ainsi, à travers le « mapping digital », un outil numérique de changement de la société, ces jeunes mettront sur la carte mondiale de changement climatique de l’UNICEF, les réalités de leurs communautés avec des photos et des videos,en esperant impliquer la population, les autorités, et engager les leaders mondiaux à agir contre le changement climatique.

Le groupe des 6 jeunes cartographent...
Au terme de ce travail, une carte mondiale du changement climatique verra le jour. A une échéance cruciale de l’avenir de la planète, ces jeunes veulent apporter leur contribution à la 21ème Conférence des Parties de la Convention-cadre des Nations unies sur les changements climatiques Paris 2015. Cette conférence doit aboutir à un nouvel accord international sur le climat, applicable à tous les pays, dans l’objectif de maintenir le réchauffement mondial en deçà de 2°C. Il s’agira de rapprocher les points de vue et faciliter la recherche d’un consensus au sein des Nations unies et de l’Union européenne, en tenant compte des acteurs de la société civile et des positions des pays du Sud.

Le groupe des jeunes catographes lors d'un échange avec les communautés...
Engagés dans le combat du changement climatique, ce groupe de jeunes est à la recherche d’un monde meilleur qui selon eux commence par un éveil de conscience qui amènerait les gens à rejoindre ce combat. C’est ainsi à travers cette cartographie qui sera enrichie en images et commentaires, ils espèrent faire agir les gens sur les causes liées à ce changement climatique à travers des rapports chocs qui montreront l’environnement dans lequel ils vivent et combien il est menacé. C’est certainement une manière aussi d’engager le monde dans le combat du changement climatique qui menace la vie humaine.
 
Halima Laoual Bachir

jeudi 17 septembre 2015

mardi 15 septembre 2015

Rentrée scolaire dans les lycées du Niger : 472.635 lycéens reprennent le chemin de l'école

Les élèves du second cycle du secondaire, ou lycées ont repris le chemin de l'école, ce 15 septembre. À la veille de l'événement, la ministre des Enseignements secondaires Mme Bety Aichatou Habibou Oumani a délivré un message à travers lequel elle a souhaité une bonne rentrée aux élèves et à leurs encadreurs qui vont renouer avec l'ambiance des salles de classes.
Pour cette rentrée qui inaugure l'année scolaire 2015-2016, ce sont 472.635 élèves dont 188.168 filles, qui vont regagner 1009 Établissements d'enseignement secondaire, et occuper 9.123 salles de classes sous l'encadrement de 17.393 enseignants à travers le Niger, a relevé la ministre des Enseignements Secondaires. «Grâce à Dieu et à votre esprit de sacrifice, l'année scolaire passée s'est terminée sur une note de satisfaction générale avec des résultats encourageants qui nous rassurent quant à l'option de reconstruction de l'école nigérienne prise par les autorités de la 7ème République», s'est réjoui Mme Bety Aichatou Habibou Oumani, avant de féliciter et encourager tous ceux qui ont contribué à l'atteinte de ces résultats.



La ministre a eu également une pensée à l'endroit des élèves de la région de Diffa qui, a-t-elle déploré «ont vécu une année 2014-15 difficile, du fait des conditions singulières et éprouvantes imposées par le terrorisme abject de Boko Haram». Mme Bety Aichatou Habibou Oumani a tenu à les rassurer. «Ils ne doivent pas désespérer car comme l'année passée, l'État sera présent à leur côté, pour leur assurer une scolarité stable, loin de la psychose entretenue par les marchands du mal dont l'action n'a que trop terni l'Islam, une religion de paix, qu'ils prétendaient servir par la violence et le crime», a-t-elle dit.

Pour ce qui est du bilan de l'année scolaire passée, la ministre des Enseignements secondaires a rappelé qu'il est caractérisé par un taux de réussite de 45,87% au BEPC et un taux de passage en classes supérieures nettement meilleur à ceux années précédentes. Toutefois, a-t-elle reconnu, beaucoup reste à faire et, à cet effet, le ministère envisage plusieurs mesures visant à améliorer les conditions d'apprentissage et de transmission de connaissances, et qui portent entre autres sur la dotation des élèves et professeurs en Kits de fournitures scolaires ; la mise en place des manuels scolaires ; la création et l'équipement des bibliothèques ; le renforcement des capacités des enseignants à travers un encadrement continu ; la relance de l'enseignement scientifique ; la réintroduction de l'Instruction civique et Morale ; la réintroduction de l'histoire et de la Géographie au BAC scientifique ; la réintroduction de la dictée au BEPC ; la mise en application des nouveaux programmes révisés.

«Je saisis cette occasion pour rappeler que notre école est et doit rester républicaine jusqu'au bout, intégratrice, porteuse de valeurs fondamentales d'égalité et de justice. Des valeurs qui forgent l'esprit critique, la citoyenneté et le réflexe démocratique chez nos enfants. Ces atouts sont des semences,
inaltérables du bel avenir que nous ambitionnons de construire pour notre jeunesse», a déclaré la ministre des Enseignements secondaires. C'est dans cette optique, a-t-elle expliqué que la rentrée 2015-16 est placée sous le signe de la restauration de l'environnement biophysique à travers l'Initiative «Un élève, Un arbre». Et en guise d'encouragement, cette opération sera sanctionnée, par la distinction des efforts les plus méritants, a assuré la ministre Aichatou Habibou Oumani.

L’USN a tenu son 11e Congrès statutaire à Mirriah (Zinder)

Le Congrès qui se tient après plus d’une année de retard, a enregistré la participation de 67 sections dont 7 en provenance de l’extérieur, une première dans l’histoire du principal syndicat des scolaires nigériens.
Les travaux qui se sont poursuivis jusqu’au 12 septembre se tiennent sous  le thème : «Les scolaires face aux défis sécuritaires: cas du terrorisme au sahel, quelle contribution? ».
 La première journée du Congrès a été consacrée à la cérémonie d'ouverture officielle des travaux, puis à la présentation du bilan du Comité Directeur (CD) sortant. Pour rappel, le CD sortant dirigé par Anass Djibrilla arrive en fin de mandat après deux échéances non réglementaires (2 années au lieu d’une année de mandat selon les textes de l’USN). La deuxième  journée à été consacrée à la mise en place de la table de séance et dans la soirée par la très attendue étape de la critique et de l’autocritique des membres du CD ainsi que de leur bilan. Cette dernière procédure a été suivie par l’adoption du bilan de la direction sortante et par la suite, la mise en place des différentes commissions.
La dernière journée des travaux a été particulièrement réservée à l’élection des nouveaux membres du CD, le véritable enjeu de ce 11e Congrès qui se tient sur fonds de tiraillements et de manipulations politiques pour le contrôle de l’USN.
A la fin des travaux, un nouveau Comité Directeur a été élu avec à sa tête Ousseini Sambo.

jeudi 10 septembre 2015

Rapport de situation 2015 de l'UNICEF intitulé ''Une promesse renouvelée'' : Des avancées remarquables réalisées le Niger, avec une réduction du taux de mortalité des enfants de moins de cinq ans de plus de 60%

Selon un rapport de l'UNICEF, près de 50 millions de vies ont été sauvées depuis 2000 et des millions d'autres pourraient l'être également d'ici 2030, indique un communiqué de presse rendu public, hier, par UNICEF Niger. Au nombre des pays ayant réalisé des avancées remarquable figure, qui a réduit son taux de mortalité des enfants de moins de cinq ans de 60 pour cent ou plus entre 1990 et 2011 (60 pour cent pour le Niger).
Selon le rapport de l'UNICEF intitulé ''Une promesse renouvelée'', « en l'espace d'une génération, la baisse du taux de mortalité infantile dans le monde a plus que doublé et 38 millions de vies supplémentaires pourront être sauvées d'ici 2030 si les progrès s'accélèrent conformément aux Objectifs de développement durable (ODD) que les dirigeants du monde s'apprêtent à adopter ce mois-ci ».
Le même rapport souligne que 48 millions d'enfants millions d'enfants de moins de cinq ans ont été sauvés depuis 2000, année où les gouvernements se sont engagés à réaliser les Objectifs du Millénaire pour le développement (OMD). « Ces progrès remarquables sont le fruit de l'action soutenue menée par les dirigeants pour mettre en place un plan d'action visant à lutter contre la mortalité infantile et en faire une priorité politique, pour améliorer et mettre à profit les données relatives à la survie de l'enfant et pour élargir les interventions qui ont fait leurs preuves », note l'UNICEF.



Comme le souligne la communiqué de presse de l'UNICEF, « le nombre d'enfants qui meurent avant l'âge de cinq ans, essentiellement de causes évitables, s'élève aujourd'hui à 5,9 millions par an, soit une baisse de 53 % depuis 1990.À l'échelle mondiale, le taux annuel de réduction de la mortalité des moins de cinq ans entre 2000 et 2015 a plus que doublé par rapport aux années 1990. L'exemple de certains des pays les plus pauvres du globe montre qu'il est possible de faire reculer considérablement la mortalité infantile en dépit d'obstacles considérables »
En effet, précise le communiqué de l'UNICEF, « le Niger est l'un des neuf pays à faible revenu (avec le Bangladesh, le Cambodge, l'Éthiopie, le Libéria, Madagascar, le Malawi, le Népal, le Rwanda) qui a réduit son taux de mortalité des enfants de moins de cinq ans de 60 pour cent ou plus entre 1990 et 2011 (60 pour cent pour le Niger) ».
« Au Niger, les indicateurs sur la santé des enfants ont progressé de façon significative: la mortalité infanto-juvénile a diminué de 198 pour mille naissances vivantes en 2006 à 127 pour mille naissances vivantes en 2012, soit une réduction de 34%. Même si elle reste l'une des plus élevées du monde, le Niger est sur la bonne voie pour atteindre l'objectif du millénaire pour le développement de 107 pour mille naissances vivantes fixé pour 2015 (OMD4) », précise le communiqué.
« Ces millions de vies d'enfants épargnées dans les campagnes et les villes, dans les pays riches et pauvres constituent l'un des premiers grands succès du nouveau millénaire. L'un des plus grands défis de ces 15 prochaines années est d'accélérer encore plus cette tendance, explique Yoka Brandt, Directrice générale adjointe de l'UNICEF. Il est théoriquement possible de sauver des millions d'enfants si nous intensifions nos efforts pour atteindre chaque enfant. », indique le rapport.
Il ressort du communiqué de presse que « parmi les solutions simples, à fort impact et économiques qui ont contribué à faire reculer considérablement la mortalité chez les moins de cinq ans, citons les soins prénatals, obstétricaux et postnatals, l'allaitement maternel, la vaccination, la diffusion des moustiquaires traitées à l'insecticide, l'amélioration de l'approvisionnement en eau et de l'assainissement, la thérapie de réhydratation orale contre la diarrhée, les antibiotiques contre la pneumonie, les suppléments nutritionnels et les aliments thérapeutiques.».
Malgré ces progrès impressionnants, indique le communiqué, la cible des OMD consistant à réduire de deux tiers la mortalité chez les moins de cinq ans à l'échelle de la planète n'a pas été atteinte.
Le communiqué rappelle qu'entre 1990 et fin 2015, près de 236 millions d'enfants sont décédés avant l'âge de cinq ans, la plupart de causes évitables. La prématurité, la pneumonie, les complications lors de l'accouchement, la diarrhée et le paludisme constituent aujourd'hui les premières causes de décès, et la sous-nutrition contribue à près de la moitié du total des décès avant l'âge de cinq ans.
« Les Objectifs de développement durable (ODD) incitent les pays à redoubler d'efforts pour ramener les taux de mortalité chez les moins de cinq ans à 25 décès maximum pour 1 000 naissances vivantes d'ici 2030. En accélérant le rythme, surtout dans les pays actuellement à la traîne, il sera possible de sauver 38 millions d'enfants de moins de cinq ans supplémentaires», conclut le communiqué de presse.

Assane Soumana(onep)

mercredi 9 septembre 2015

Formation des jeunes membres du Cadre de Concertation des Associations de Jeunesse de la région de Tahoua en vie associative et le leadership



Soucieuse d’avoir des jeunes leaders outillés qui œuvrent à l’épanouissement de la jeunesse en particulier et au développement de leur communauté en générale, le CCAJ de Tahoua a organisé une formation à l’intention des jeunes membres du CCAJ de la région. Trois jours durant, les participants ont suivi une formation en vie associative et leadership.

Cette incitative soutenue par l’Unicef vient à point nommé car elle contribuera à faire de nous de vrais leaders qui savent qui veulent et ce pourquoi ils militent.

Séance de salubrité à Zinder

Les jeunes leaders du premier arrondissement de la ville de Zinder ce matin au niveau de l'église évangélique de la république du Niger pour une journée de salubrité. Cette activité soutenue par l'USAID/PDevII vise à renforcer le lien de fraternité et d'amitié entre les chrétiens et les musulmans de cette localité.On doit accepter cette différence religieuse pour vivre ensemble et cela pour toujours...
Vive la tolérance religieuse entre les frères
ON EST ENSEMBLE


lundi 7 septembre 2015

le CCAJ d'Agadez a un nouveau point focal


Le 27 aout dernier, la salle de réunion de la MJC d’Agadez accueillait 18 structures membres du Cadre de Concertation des Association de Jeunesse (CCAJ) de cette région pour une assemblée générale élective. Cette dernière avait pour ordre du jour le renouvellement du point focal du CCAJ. Bien que n’étant pas à la fin de son mandat, Rachid Kollo, Point Focal sortant a dit vouloir passer le flambeau afin de permettre l’émergence d’une relève car après 5 années à la tête de la structure, il croit avoir donné le maximum de ce qu’il puisse apporter au cadre.

Pour ces élections, il y a eu trois candidats dont l’un s’est retiré avant le début du vote.  Il restait donc Bianou Ousmane et Hami Alfoudja Bouhari. Après que chacun ait donné ses ambitions pour le cadre et pourquoi le choix doit être porté sur lui, s’en est suivi le vote. A l’issue du vote, Bianou Ousmane recueil 12 voix contre 6 pour Hami Alfoudja. Ainsi donc Bianou est sacré nouveau point focal du CCAJ d’Agadez. Le nouveau PF dit s’engager pour faire de son mandat un mandat d’union pour tous les membres du CCAJ de sa région tout en les priant de l’aider à atteindre cet objectif.