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Jeunesse du Niger

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mercredi 25 septembre 2013

Championnat national d'athlétisme


La Fédération Nigérienne d’Athlétisme (FNA) a fait savoir que dans le cadre de son programme annuel d’activités 2013, elle organise du 04 au 06 Octobre 2013 son Championnat National sur piste à Niamey.

Toutes les régions du pays seront présentes à cette importante manifestation de la Jeunesse, Nigérienne qui regroupera près de quatre cent (400) athlètes (masculin et féminin).
Au programme il y aura les différents disciplines : sprint, sauts, lancers et semi-fond et fond.
Les ligues et clubs ont un peu moins que 1 mois pour faire leurs sélections régionales, ceci ne serra pas un mince affaire parce que la plus part de leurs athlètes sont en vacance ou congé.
Le dernier championnat a eu lieu en avril 2011 a Zinder.

En prélude à ce championnat national, la ligue de Niamey organise le samedi 28 septembre une compétition de sélection pour les athlètes de Niamey. Venez tous massivement a 7h au Stade Seyni Kountche !


Source : blog de l'athlétisme du Niger.

mardi 24 septembre 2013

"La militarisation" de l’emploi des jeunes

Le fort taux de chômage que vivent les jeunes est de plus en plus devenu un phénomène de société. En effet, le chômage touche toute la jeunesse nigérienne. Cela, provoque une ruée des jeunes vers le métier militaire ou para militaire. Il est devenu évident que la majeur partie des jeunes aspirent à rejoindre l'armée et les autres corps. Cela s'explique par le fait que ces corps offrent une sécurité d'emploi pour les jeunes. Aussi, du point de vue du niveau scolaire, il est plus aisé d'accéder aux métiers des armées qu'aux autres métiers. Cependant, cet état de fait constitue un problème pour la future élite de ce pays. En effet, le fait que pour intégrer le métier militaire, il n'est pas exigé d'avoir des diplômes universitaire, les jeunes se contentent d'avoir le minimum scolaire. Ils ne sont pas trop intéressés par l'idée d'études supérieures. Cela, à la longue risque de répercuter sur la quantité de cadres compétents devant servir le Niger. Il s'avère alors nécessaire que l'Etat soit regardant par rapport à cette situation.
Par Abass

jeudi 19 septembre 2013

Du droit et de la zik, un duo canon !!!


Lorsque Samira et Indira ont fait leur premiers pas dans la musique, elles ont choisi de se sacrifier pour ce métier, c’est le sens qu’elles donnent au nom de leur duo : bloc crazy girl ! Ce pseudo n’a absolument rien à avoir avec la folie comme le croiraient beaucoup de fans. Au contraire il sous entend une musique sans limites, à outrance.
Au début, jamais elles n’avaient pensé qu’un jour elles seront la merveille des écrans car elles se contentaient d’admirer les stars occidentales jusqu’au jour où le destin a fait en sorte qu’elles se croisent à une soirée dansante. À première vue elles ont su qu’elles avaient quelque chose en commun qu’il faillait partager. C’est ainsi que le groupe est né en janvier 2011.
Liant harmonieusement leur carrière musicale à leurs études en droit dans une communauté aussi conservatrice que le Niger, ces jeunes filles présentent leur art comme une participation au développement depuis la sortie de leur premier clip « hey boy » il y’a un an. Celui-ci dénonce les mecs qui chosifient la femme en lui attribuant une valeur marchande.
A travers leurs concerts et tournées, elles se présentent comme les porte-paroles de la musique féminine avec l’égalité des sexes comme leitmotiv.

Par Omar Manga Aichou

Premier Salon Nigérien sur les énergies renouvelables sur le Thème : "Vers un marché durable des énergies renouvelables au Niger"


Le Ministère de l'Energie et du Pétrole, en collaboration avec la SNV, le PNUD-Niger et le CODDAE, organisent du 17 au 20 septembre 2013 au Grand Hotel de Niamey, Niger, le Premier Salon Nigérien sur les énergies renouvelables sur le Thème : "Vers un marché durable des énergies renouvelables au Niger".
Cet évènement, placé sous le haut patronage de son Excellence, Monsieur le Premier Ministre, Chef du Gouvernement, regroupe les experts et spécialistes des énergies renouvelables, venus d'Afrique, d'Europe et les principaux acteurs nationaux du secteur.
 Les Objectifs sont :
·        Cartographie et analyse du marché
·        L'identification des défis, obstacles et les solutions
·        Mise en réseau des acteurs locaux
·        Amélioré la qualité du Marché
 JVE Niger est présente dans l’organisation à travers l’animation d’un stand sur ces activités et une participation active aux travaux du salon.

Sani Ayouba

lundi 16 septembre 2013

Rencontre avec le Président du Conseil National de la Jeunesse du Niger



Monsieur le Président, veillez-vous présenter à nos lecteurs
Je m’appelle Aliou Oumarou, Président du Conseil National de la Jeunesse et je vous remercie d’avoir pensé à nous donner cette occasion pour nous  adresser à notre jeunesse.

Vous êtes depuis deux ans à la tête du CNJN. Parlez-nous de cette institution ainsi que de la mission qui lui a été assignée
Le Conseil National de la Jeunesse du Niger (CNJN) est un organe consultatif  indépendant  et apolitique placé sous la tutelle du Ministère  en charge de  la jeunesse. Il regroupe toutes les organisations de jeunesse du milieu rural et urbain, en milieu scolaire et extra scolaire.
Le Bureau National du CNJ est composé de 33 membres élus (filles et garçons) issus des  huit (8) régions du Niger, il est aussi représenté par 15 membres au niveau régional, départemental et communal et, conformément à la Charte Nationale de la Jeunesse, le CNJ est composé de jeunes dont l’âge varie entre 15 et 35 ans.

 Que faites-vous en vue de contribuer à l'amélioration des conditions de vie des jeunes?

Ne représentant pas un syndicat mais un organe consultatif, je profite d’ailleurs pour féliciter notre équipe qui joue de façon digne et responsable sa mission de défense des intérêts matériels et moraux de la jeunesse nigérienne où qu’elle se trouve.

En deux ans, on peut dire que grâce au dynamisme de nos différents membres et au concours de nos partenaires (Unicef, UNFPA,OIM, HACP, Oxfam, SOS-Civisme, OIF, Ambassade de France, Ambassade des USA, Centre Culturel Américain,   PEDEV-II, CNEDD, ANLC, media)  ont peut se féliciter d’avoir fédéré les structures de jeunesse autour du CNJ, d’avoir contribué à l’annulation du concours de douane de 2011, d’avoir renforcé les capacités de plus de 3500 de nos membres en termes de leadership, lutte contre le terrorisme, gestion des conflits, gestion de projets, contrôle citoyen de l’action publique, citoyenneté, changement climatique, Gestion Axée sur les Résultats (GAR), bonne gouvernance, lutte contre corruption etc.
J’espère que ce n’est pas de trop de dire aussi que nous sommes parvenus à régler un problème crucial qui mine les « palais » de Zinder. C’est gratifiant de constater que depuis notre passage en avril 2012, plusieurs « palais » de la ville de Zinder ont été transformés en associations de développement.
Enfin, on se félicite d’être le premier bureau du CNJ à être reçu officiellement par le chef de l’Etat, son Excellence Issoufou Mahamadou, qui place la jeunesse au cœur de ses actions.

Beaucoup de jeunes vous reprochent de ne pas agir, avez-vous une réponse à leur donner? 

Nous agissons mais peut-être certains de ces jeunes n’ont pas eu la chance de suivre toutes ces actions nobles que nous avons menées. Mais en deux ans (2), on a donné plus de visibilité au CNJ et aux actions qu’il a menées, ce qui n’était pas le cas il y a de cela cinq ans avec l’ancien bureau national.
Je reconnais également que nos structures de base ne parviennent pas, jusqu’à présent, à mener des actions de visibilité comme elles le souhaitent, mais nous sommes en réflexion au niveau national avec ces structures pour régler cette question de visibilité qui nécessite, vous en conviendrez  avec moi, beaucoup de moyens.

Recevez-vous un soutien de la part des autorités ou autres organismes ?

Malheureusement, malgré la bonne volonté du chef de l’Etat, nous ne comprenons pas pourquoi ce gouvernement s’abstient toujours de nous donner les moyens. Nous ne disposons pas d’un budget de fonctionnement, ni d’un siège pour assurer une permanence.
En deux ans, la subvention mise à notre disposition par le ministère de la Jeunesse est carrément ridicule. Mais je t’invite à les approcher pour t’en rendre compte.


A travers une loi, le gouvernement nigérien a décidé de rappeler des agents retraités à la fonction publique pendant que le travail pour les jeunes diplômés se raréfie. Qu’en pensez-vous?
Cette décision  a été une insulte pour la jeunesse nigérienne et notamment pour les jeunes diplômés. Comment expliquer que, dans un pays où la jeunesse représente plus de 70% de  la population, un gouvernement s’aventure à prendre de telles décisions ? C’est pourquoi nous demandons aux jeunes de se mobiliser et de faire une union sacrée autour du CNJ pour défendre nos intérêts, car personne ne le fera à notre place

Le régime de la 7ème République a promis beaucoup à la jeunesse, pensez-vous qu'il est en train de tenir ses engagements?
Je ne saurais vous dire le contraire, car je suis convaincu que les politiques actuelles  du Président de la République peuvent contribuer à absorber effectivement beaucoup de jeunes et à régler ce problème crucial de l’emploi des jeunes. Mais ce que nous regrettons malheureusement, ce sont les animateurs de ces politiques qui ne jouent pas pleinement leur rôle. Les enfants des pauvres sont toujours mis sur la touche, les enseignants contractuels ainsi que les appelés du service civique national ne sont pas bien traités, les étudiants évoluent dans des conditions extrêmement difficiles et je pense qu’il est grand temps que cela change.


Quelles sont les ambitions du CNJN pour la jeunesse nigérienne?

Nous avons comme ambition de lutter avec tous nos moyens pour que la jeunesse nigérienne soit bien formée, qu’elle trouve de l’emploi décent dans l’équité et l’égalité, que le PAC (parents amis et connaissances) soit banni, que l’école nigérienne retrouve sa noblesse d’antan, que la jeunesse travaille les terres pour l’autosuffisance alimentaire de notre pays et que la paix et la stabilité s’installent durablement dans notre pays car c’est la condition de tout développement. 


vendredi 13 septembre 2013

Tentative avortée de vol d'enfant à Zinder

 Dans la journée du mardi, une dame originaire de Tessaoua, a été arrêtée pour tentative de vol d'enfant.  Cette femme qui n'est pas à sa première opération, a comme mode opératoire, attraper l'enfant et monter sur une moto. Heureusement que pour cette fois-ci, les choses ont mal tourné pour elle. Grâce aux cris de détresse du gamin, les gens qui étaient à coté ont pu secourir cet enfant qu'elle s'apprêtait à amener avec elle. Arrêtée, elle avala la puce de son téléphone portable pour faire disparaitre les traces de ses complices et de l'éventuel réseau. La femme est présentement dans la main de la police où une enquête a été diligentée sur cette affaire.

Par Bachir Djibo
Photo : Jeunesse du Niger

jeudi 12 septembre 2013

le 21 septembre sera la journée internationale de la paix, que feras-tu ce jour?


La Journée internationale de la paix, observée chaque année le 21 septembre, est un appel international au cessez-le-feu et à la non-violence. Cette année, le Secrétaire général Ban Ki-Moon, en appelle aux jeunes du monde entier afin qu’ils prennent position pour la paix, sous le thème : « Jeunesse pour la paix et le développe-ment ».  La Journée internationale de la paix a été décidée en 1981 en vertu de la résolution 36/67 de l’Assemblée générale des Nations Unies pour cadrer avec sa séance d’ouverture, qui se tient annuellement le troisième mardi de septembre. La première Journée de la paix a été observée en septembre 1982. En 2001, l’Assemblée générale a unanimement adopté la résolution 55/282, établissant le 21 septembre comme journée annuelle de non-violence et de cessez-le-feu. Les Nations Unies invitent tous les pays et tous les peuples à respecter l’arrêt des hostilités durant cette Journée et à la commémorer aves des mesures éducatives et de sensibilisation du public aux questions liées à la paix.
La journée internationale pour la paix est célébrée depuis dans plusieurs pays à travers le monde. Elle se veut une manifestation annuelle en faveur de la paix avec les communautés. Peace One Day est une coalition dONG basée en Angleterre et qui se propose dorganiser à travers des structures partenaires des manifestations partout dans le monde. Lune des activités proposées est lorganisation dun match de football en simultané dans plusieurs pays pour faire passer des messages sur la paix et les diffuser sur internet et autres médias.
C’est dans ce cadre que JVE Niger se propose dorganiser un match de football le 21 septembre en simultanés dans les régions de Zinder, Tillabéry et Niamey. Ces matchs de gala seront précédés des communications sur les questions de la paix et le rôle de la jeunesse dans le maintien et la promotion de la paix. 
Et toi que feras-tu pour célébrer la journée de la paix?

vendredi 6 septembre 2013

L'avortement au Niger


Dans nos villes africaines, il n'est aujourd'hui presque plus un tabou de parler d'avortement. Ce qui n'était pas le cas il y a tout juste quelques décennies. L'avortement correspond à l'expulsion d'un produit de conception de l'utérus avant la date de viabilité foetale. Selon l'Organisation Mondiale de la Santé (OMS), on considère qu'un foetus est potentiellement viable s'il pèse plus de 500 grammes et/ou âgé de plus de vingt-deux semaines d'aménorrhée (moins de cinq mois). Quatre sortes d'avortement sont à distinguer :
- L'avortement spontané qui survient de lui-même.
- L’interruption volontaire de grossesse. C'est l'avortement provoqué légalement dans certains pays et interdit au Niger.
- L'avortement thérapeutique, provoqué en vue de sauver la mère d'un danger que la grossesse lui fait courir. 
- L’avortement clandestin, qui survient à la suite de manoeuvres destinées à interrompre la grossesse, dans un contexte illégal.
L'avortement est l'accident le plus fréquent dans la pratique obstétricale. Dans le monde, on estime que 20 millions d'avortements à risque sont pratiqués chaque année, entraînant plus de 80 000 décès. 
Au Niger, une étude menée en 2007 à la maternité Issaka Gazoby de Niamey notait que 2,23% d'avortements étaient provoqués clandestinement, par rapport au nombre de naissances dans la même période. 
Ces chiffres, sont malheureusement très loin de la réalité, en raison du caractère clandestin de la pratique, qui explique que les femmes concernées ne viennent à la maternité qu'en cas de complications avérées. La tranche d'âge des patientes se situe entre 15 et 40 ans avec une moyenne de 29 ans représentant les 81,46%. Elles sont en majorité ménagères (50,99%). Ensuite viennent les élèves - étudiantes (19,80%) puis les fonctionnaires (5,30%). Les prostituées, les commerçantes, toutes font partie des clientes des avorteurs clandestins. Ces femmes sont majoritairement célibataires et n'utilisent pas de méthodes contraceptives. 
Pour mettre un terme à la grossesse, plusieurs méthodes sont utilisées, qui comportent très souvent des risques pouvant conduire jusqu'à la mort de la patiente. Il s'agit du dilatateur, des curettes et pinces de tout genre, des sondes (sondes vésicales, branchettes d'arbre, aiguille à tricot…), des comprimés, de la nivaquinine, des produits chimiques, des crottes d'animaux, du piment, des herbes diverses…
Les avorteurs sont pour la plupart des professionnels de la santé, des tradipraticiens ou les femmes elles-mêmes. Les conséquences sont multiples : hémorragie, perforation interne, traumatisme, infarctus iterine, stérilité, les moins chanceuses mourant pendant qu'elles "essaient de donner la mort à leur futur enfant". La prévention de la mortalité maternelle passe, selon l'OMS, par l'intégration des soins d'avortement en urgence dans tous les systèmes de soins d'un pays, du poste de santé rural aux services les plus perfectionnés du tertiaire. 
L'avortement est l'une des questions les plus controversées dans le monde, tant sur le plan moral que juridique, créant ainsi des points de vues opposés entre ceux qui reconnaissent à la femme le droit d'avorter et ceux qui s'y opposent fermement. Le débat va au-delà de la médecine et de la pratique médicale et s'est fait une place dans les domaines de la religion, de la morale et même de la philosophie.

Hamadou Hassane Hamidou


Que pensez-vous de ce phénomène ? Laissez votre commentaire


mercredi 4 septembre 2013

Sukabé, le rendez-vous annuel des enfants


Les enfants du Niger soutenus par ceux de la sous région sont réuni depuis le 1er Septembre à Dosso à l'occasion de la 10ème édition du festival d’intégration artistique et culturelle « Sukabé ». Sukabé veut dire enfant en fulfuldé. Plus de 200 enfants venus de tout le Niger ainsi que d’une dizaine de pays de la CEDEAO ont répondu à ce rendez-vous auquel . Les participants vont ainsi rivaliser de créativité et de talent culturelle à travers plusieurs disciplines, telles que la danse traditionnelle, le théâtre, la danse moderne ou encore le conte. Selon les initiateurs de cette rencontre, Sukabé est un regroupement de jeunes qui vise à favoriser l'intégration africaine et l'épanouissement des jeunes africains. Ainsi, tout est mis en oeuvre lors de cette manifestation appuyée par l’Unicef afin de permettre aux enfants de fraterniser, d’échanger et consolider une amitié durable. 

Photo : Unicef Niger

mardi 3 septembre 2013

Atelier sur l'impacts du changement climatique sur la pêche


A Tillabery, les communautes de pecheurs vivant autour du fleuve ont bénéficié d'un atelier de sensibilisation sur l'impact du changement climatique sur la pêche.
Témoignage: « Avant il y’avait plus de poissons que maintenant, de 1950 à 1954, c’était extraordinaire la quantité de poissons que nos parents ramenait de la pèche, au rythme actuel, les générations futures trouveront-elles des poissons, connaitront-elles le poisson ? Cela nous inquiète. Disait Abdoulaye Moussa, Président des pêcheurs de la région de Tillabery

lundi 2 septembre 2013

Conference des Jeunes Africains sur l'Environnement et le Developpement Durable

Aux fins de permettre une large participation des jeunes résidant en Afrique de l’ouest, le PNUE a autorise une application spéciale a leur attention. Ainsi, tous les jeunes résidant dans l'espace CEDEAO ou ceux d'ailleurs pouvant prendre en charge leur frais de déplacement, peuvent  remplir la fiche et l'envoyer a tunzatogo@gmail.com avant le 5 septembre. C'est une faveur spéciale que l'ONG Jeune Volontaire pour l'Environnement se félicite d'avoir pu négocier, dans une certaine mesure pour s'assurer d'une bonne représentation de la sous-région qui accueille la Tunzafrika
NB. Ceux qui ont déjà pu soumettre leur application en ligne a la date limite du 23 aout ne sont pas obliges de renvoyer. Encore, cette application est uniquement pour les jeunes devant payer leur propre déplacement à la conférence. Les candidats sélectionnés seront contactes le 7 septembre au plus tard. Nous espérons que vous saisirez cette occasion afin que le maximum de jeunes de la sous-région y soit représenté. NB: Les candidats sélectionnés bénéficieront d'une prise en charge totale dès leur arrivée à Lomé. Merci de partager au sein de vos reseaux
NB: Pour les jeunes residant Togo, le forum national preparatoire de Tunzafrika se tient du 11 au 12 septembre a Lome. Pour soumettre une candidature, allez a http://jve-international.org/8-la-une-de-jve/38-forum-des-jeunes
Cordialement,
JVE Niger

la jeunesse nigérienne


 Selon les statistiques, la moyenne d’âge au Niger est de 15 ans. Cela ne veut pas dire, bien entendu, que nous avons un âge mental de 15 ans mais plutôt qu’il y a beaucoup (BEAUCOUP) plus de jeunes que de vieux…. quelque chose comme 70% de moins de 35 ans il me semble. D’ailleurs, 19% de la population a moins de … 5 ans !
Les jeunes, si nombreux, ont besoin d’espace. Nous voyageons de plus en plus à l’étranger, que ce soit dans la sous-région, au Maghreb, en Europe, en Asie, en Amérique. Même si il y a des barrières imposées par les autres pays : visa (avec des procédures ahurissantes), taxes…
Les jeunes veulent être maîtres de leur destin. Et cela se voit aux efforts qu’ils ont fait pour avoir des diplômes (ainsi qu’aux efforts de leurs familles d’ailleurs …).
Ils veulent aussi communiquer entre eux, donner leur avis, prendre part aux débats de la société. Voyez le nombre de groupes qui fleurissent sur facebook !
Les jeunes, qu’ils soient de milieux pauvres ou aisés, qu’ils soient de la ville, de la campagne ou du désert sont certains d’une chose, c’est qu’ils veulent un lendemain meilleur.
Notre jeunesse est une richesse et nous pouvons dire, à certains égards, qu’elle est mal exploitée. Mais qu’est-ce que cela veut dire? Certains diront que c’est la faute des politiciens qui ne mettent pas assez en place de politiques publiques en leur faveur. Certes, c’est surement vrai.
Mais n’attendons pas que l’on nous tende la main pour faire quelque chose de notre vie. Demain, lève toi et commence à travailler pour réaliser ce qui te fait rêver, ce qui te fait vibrer, ce que tu penses être juste pour toi et pour ceux qui t’entourent.
Je termine avec quelques chiffres encore … (eh oui !) Le nombre d’enfants par femme en moyenne est de plus 7 enfants … Et d’ici 2050 nous serons … plus de 55 millions de nigériens ! Préparons le terrain pour que ceux qui seront jeunes quand nous serons vieux puissent avoir les moyens de réaliser leurs rêves et de vivre mieux.

Par Salamatou Taro
Retrouver son blog sur www.salamatoutaro.wordpress.com